Compte tenu de l’idéologisation croissante du regard extérieur sur la Turquie actuelle – qui s’ajoute à la vieille propension occidentale à orientaliser et « passéifier » le pays – et de la difficulté à considérer les phénomènes contemporains indépendamment de la seule et envahissante personne du président de la République en fonction depuis août 2014, un effort de distanciation et de décantation…